Ados & parents : pourquoi ce goût du risque chez les ados ?

L'adolescence qui correspond à la période entre 10 et 19 ans est considérée comme la phase la plus importante pour le développement de la personnalité d’une personne. Après l'enfance, la phase d'adolescence représente la phase de croissance somatique la plus rapide, de maturation sexuelle, de développement de l'identité. Cette phase s'accompagne par de nouveaux comportements, différents de ceux de l’enfance.

C'est l'âge auquel les jeunes commencent à sortir, tester leurs limites, aller au bout de leurs forces, essayer parfois de fumer, boire de l'alcool, voire même consommer de la drogue, avoir des comportements sexuels à risque…

Ces conduites hautement risquées peuvent prendre la forme d’expériences brèves pour certains adolescents, mais pour certains d'autres, elles peuvent avoir des répercussions sérieuses sur leur santé et leur bien-être.

L’adolescence qui correspond à la période entre 10 et 19 ans est considérée comme la phase la plus importante pour le développement de la personnalité d’une personne. Après l’enfance, la phase d’adolescence représente la phase de croissance somatique la plus rapide, de maturation sexuelle, de développement de l’identité. Cette phase s’accompagne par de nouveaux comportements, différents de ceux de l’enfance.

C’est l’âge auquel les jeunes commencent à sortir, tester leurs limites, aller au bout de leurs forces, essayer parfois de fumer, boire de l’alcool, voire consommer de la drogue, avoir des comportements sexuels à risque…

Ces conduites hautement risquées peuvent prendre la forme d’expériences brèves pour certains adolescents, mais pour certains d’autres, elles peuvent avoir des répercussions sérieuses sur leur santé et leur bien-être.

1. Mais pourquoi les jeunes ont souvent tendance à prendre le risque ?

Cette question est souvent posée par les parents, et le site web univers-parents.fr vous apporte une réponse scientifique.

Les adolescents et le goût du risque ont fait l’objet de plusieurs études des sciences sociologiques et en particulier de la psychanalyse. Certains psychanalystes expliquent que les prises de risques pour certains jeunes impliquent une recherche de plaisir. Défier la mort et tenter des expériences extrêmes n’est qu’une manière d’expression de soi, selon ces experts.

Certaines études ont montré l’existence d’un processus de maturation du cerveau. Le cerveau de l’adolescent est différent par rapport à celui de l’adulte en matière de comportements, d’émotions, de réactions… et les risques que prend l’adolescent permettent de finaliser le développement de son cerveau.

L’adolescent diffère également de l’adulte en termes de prise de décisions et de capacité d’organisation. Cet inachèvement de développement du cerveau de l’adolescent explique en partie sa tendance à prendre de mauvaises décisions et à adopter des comportements immatures.

Or, les jeunes qui souhaitent être autonomes et indépendants dans leur prise de décisions s’engagent à foncer et vivre des expériences extrêmes, de confrontation directe avec la mort sans pour autant penser aux conséquences.

2. Comment les parents doivent-ils réagir ?

Les parents ont tendance à vouloir protéger jusqu’au bout leurs enfants, jusqu’à parfois, limiter leurs libertés.

Un comportement pareil peut avoir de graves répercussions sur l’adolescent qui, en réaction, choisira de tout faire en secret, sans en informer ses parents.

Afin d’éviter de graves incidents, et pouvoir surveiller sans gêner ses enfants en phase d’adolescence, les parents doivent avantager la communication positive, avec beaucoup de souplesse, sans tomber dans l’inconscience.

Être ami avec ses enfants est la meilleure façon de le surveiller, le protéger et être sûr qu’il ne cachera pas (ou presque), des secrets pouvant être graves pour son avenir.

Il faut donc entretenir, dès un jeune âge, une relation amicale avec son enfant, tout en lui expliquant ses limites et les conséquences de ses éventuelles décisions, voire erreurs.